À PROPOS DE NOUS

Historique de la Corporation
La Corporation du Groupe des Écorceurs est un organisme à but non lucratif qui a été fondé en 2007. Le conseil est composé de sept administrateurs dont le mandat est de gérer le site de l’Anse-à-Benjamin selon la mission suivante: «Administrer avec respect le havre naturel tranquille de l’Anse-à-Benjamin afin d’en faire profiter ses usagers actuels ainsi que ceux des générations futures, et ce, gratuitement ou à faible coût. La protection et la conservation de la nature et le maintien de la quiétude des lieux sont les grands principes qui sous-tentent notre développement».
Le site couvre une superficie de plusieurs acres surtout en terre agricole. Les actifs de la compagnie sont: un terrain adjacent à l’anse-à-Benjamin avec un accès au sentier Eucher, un bâtiment de services et d’entreposage «la grange», une rampe de mise à l’eau directe sur le fjord, un parc d’entreposage à bateau et un parc d’entreposage de cabane à pêche blanche.
Les administrateurs :
Louise Lévesque, présidente
Dave Foster, vice-président
André Couturier, trésorier
Marie-Élyse Michaud, secrétaire
Marc Boily
Guillaume St-Pierre
Marc Plourde
Collaborateurs :
Ville Saguenay, Contact Nature, Marina de La Baie, Patrimoine Québec et Canada.
Principes d’aménagement du territoire :
Avant même de songer à apporter des changements spécifiques au site de l’Anse-à-Benjamin, il apparaît important d’établir des principes généraux issus de la théorie sur l’aménagement des territoires qui soutiennent ces décisions.
1 Tout projet d’aménagement du territoire doit avant tout corresponde à la mission de la Corporation du Groupe des Écorceurs.
2 La première considération doit toujours être de préserver et de conserver l’intégrité écologique des milieux naturels sur le site et autour du site de l’Anse-à-Benjamin.
3 L’aménagement du territoire doit s’inscrire dans un schéma global de développement régional où les particularités et l’unicité de notre site sont mis en valeur.
4 L’aménagement du site doit prendre en considération la croissance potentielle de l’achalandage jusqu’à l’atteinte de la limite de sa capacité d’accueil.
5 Les infrastructures d’accueil sur le site doivent être disposées de manière à empiéter le moins possible sur les lieux de prédilection pour les activités qui profitent des milieux naturels et des corridors visuels.
6 Les aspects culturels et patrimoniaux reliés au site de l’Anse-à-Benjamin méritent d’être respectés et mis en valeur, en lien avec les organismes provinciaux ou fédéraux.
7 La sécurité des usagers et la gestion des risques doivent toujours être prises en considération et traitées de façon prioritaires.